Je ne savais pas trés bien, d’un point de vue RSE, comment parler du drame environnemental et nucléaire que subit le Japon.
Au moment où l’on commence à rechercher les responsabilités sur la gestion de crise par l’exploitant du site et sur les menaces et opportunités des choix énergétiques du peuple nippon, soyons dans le respect humain. Pour le coup nous aurons fait acte d’un peu de responsabilité sociétale.
Ce 11 mars 2011 au moment où l’économie du Japon repart après pas moins de cinq plans de relance en un an, voila que le pays se mobilise pour ses victimes et ses réfugiés.
Rationnement de l’énergie, arrêt des usines, une Bourse qui plonge et le yen qui se replie.
Quelle sortie de crise est possible avec une dette publique proche des 200 % de la richesse (la France est à 75%) et des taux d’intérêt déjà ramenés à zéro ?
Le Japon n’a qu’une richesse : les Japonais.
Je vous propose d’écouter la chronique de François d’Orcival du 23 mars 2011.
« Sur l’échelle de Richter du courage ».
Et n’hésitez pas à apporter vos commentaires et réactions.
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