La RSE s’exprime et se résume encore aujourd’hui trop souvent au travers de contraintes économiques, d’obligations réglementaires, d’initiatives militantes et d’actions philanthropiques.
Les organisations françaises (publiques comme privées) prennent de plus en plus de retard sur le terrain de la RSE alors que celle-ci marque des avancées et s’annonce un peu plus chaque année comme une obligation.
Et je ne peux que souscrire à l’analyse de Martin Richer dans son billet de début d’année : 2015, année RSE ? dont voici quelques éléments clés.
Une année s’achève, une autre commence… et la RSE progressivement s’impose. La Responsabilité Sociale des Entreprises n’est pas un supplément d’âme, un catalogue de bonnes intentions décoratives ou l’une de ces modes managériales aussi anecdotique qu’éphémère. Au contraire, la RSE s’impose parce qu’elle suscite un nouveau rapport au travail, à l’entreprise et à l’avenir.
Voici les 7 raisons, que Martin développe et argumente, pour lesquelles les dirigeants et les managers doivent non seulement s’y intéresser, mais s’y investir.
- La RSE est une démarche de conviction
- C’est une démarche d’engagement
- Elle suscite un indispensable renouveau de l’entreprise
- C’est un facteur de différenciation
- Mais aussi un levier de transformation
- La RSE poursuit son mouvement de mondialisation
- Elle nous concerne tous… ainsi que nos enfants
Et je partagerais sa conclusion :
Oui, la RSE est là pour durer. Et bien au-delà de 2015, chaque année la rapproche de ce que de ce qu’il appelle la RSE transformative et ce que je crois moi être la réponse à une transition sociétale inéluctable.
Choisir de rester en dehors de l’évolution vers une croissance soutenable et un mode de création de valeur durable est encore une option pour 2015. Mais cela risque de finir par coûter très cher… Claude Fussler, le disait déjà il y a treize ans lors de la conférence de la Terre à Johannesburg :
« Il n’est pas d’entreprise qui gagne dans un monde qui perd »
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